6 questions à se poser avant d’acheter

6 questions à se poser avant d’acheter
15 Déc 2019

Connaissez vous l’histoire de cet homme, qui n’aimant ni la conduite, ni son travail, travaille pour avoir une voiture et possède une voiture pour aller travailler ? Cet exemple illustre parfaitement l’influence de la société de consommation sur nos choix et la détermination de nos besoins. Pour changer la donne et s’émanciper de la frénésie d’achat du toujours neuf, posons nous 6 questions avant d’acheter ! 

Qu’avez vous prévu d’acheter bientôt ? On pourrait commencer par de la crème solaire et des sandales pour l’été. Ajoutons un livre, une gourde, un short, un ventilateur et un nouvel ordinateur car l’ancien devient lent. La liste peut s’allonger encore et encore si on y pense bien ! Explorons ensemble 6 questions à se poser avant d’acheter et des idées pour une autre façon de consommer à Paris et ailleurs.

En avez-vous vraiment besoin ou envie ?

La première question à se poser avant d’acheter un bien est celle de son utilité. En avez-vous réellement besoin ou envie ? Beaucoup de nos achats finissent vite oubliés, inutilisés ou pourraient être évités par une alternative. Evitons les dépenses secondaires et achetons uniquement ce que nous voulons vraiment.

Est-ce urgent ?

Nous sommes bien souvent tentés par les soldes, promotions, destockages et nous laissons aller aux achats impulsifs. Mettons nous en pause : si votre achat n’est pas urgent, laissez vous le temps du choix avant d’acheter. Reportez votre décision à une semaine, un mois ou un an et repensez y.

L’avez-vous déja ?

N’avez vous pas finalement cet objet à la maison ? Vos sandales de l’été dernier sont elles encore utilisables  avec un coup de neuf ? Votre vieil ordinateur fonctionne-il encore malgré sa lenteur ? Ce jean usé ne ferait-il pas un bon short ? Faites l’inventaire de vos placards : vous possédez déjà peut être une alternative à l’achat de neuf.

Pouvez-vous le faire vous-même ?

Autre question à se poser avant d’acheter : pouvez-vous le faire vous même ? Lancez vous dans la couture, le bricolage, la cuisine, l’informatique, la menuiserie ! Internet regorge de tutoriels et de sites DIY pour apprendre à faire les choses soi-même et avancer vers plus d’autonomie. Voici quelques exemples du zèbre :

Pouvez-vous l’emprunter ou le récupérez?

Sondez votre entourage! Vous pouvez tout simplement emprunter à vos proches ce dont vous avez besoin ponctuellement : une tente et un sac de couchage, un bon appareil photo pour un évènement, un livre, une tenue ou une grande casserole… Vous pouvez aussi faire appel aux associations et entreprises qui donnent, louent et prêtent un tas d’objets de consommation. Quelques adresses et astuces du zèbre pour emprunter, louer et récupérer à Paris :

Pouvez-vous l’acheter d’occasion ?

Autre alternative à l’achat du neuf :  l’occasion ! Rendez-vous dans les ressourceries, brocantes mais aussi sur les sites en ligne comme le Bon Coin pour acheter vos meubles, vos appareils électroménagers ou encore votre vaisselle. Pour regarnir votre garde-robe, explorez les friperies et vide-dressing et si vous avez besoin d’un smartphone ou d’un PC , le site Back Market propose de nombreux équipements reconditionnés. Les solutions sont multiples, voici quelques sources d’inspiration du zèbre :

Et après ?

Vous n’avez pas trouvé d’alternative à votre achat ? Choisissez avec soin le commerçant à qui vous allez acheter. Bien que parfois peu visibles, les entreprises respectueuses de l’humain et de l’environnement sont nombreuses ! Achetons de préférence local, solidaire, équitable, biologique… Le zèbre vous donne quelques unes de ses adresses vertes et solidaires pour bien consommer à Paris :

Et vous quelles sont vos astuces, adresses et idées pour une consommation alternative au neuf ?

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Comments

  1. bressolles geneviève : février 1, 2020 at 7:24

    pourquoi mettez vous en opposition envie et besoin ,ce n’est pas la même chose ,

    • Bonsoir,
      Merci pour votre commentaire ! Nous ne mettons pas en oppositions ces deux choses. Il faut lire la question comme deux questions : « en ai-je vraiment besoin ? » et « en ai-je vraiment envie ? » au lieu de les mettre en opposition !

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